Ces quelques lignes vous permettront de cerner le cadre dans lequel peut se situer mes accompagnements :
Problématiques relationnelles, du lien à l'autre, à soi :
Lorsque le mal-être, la souffrance, sont importants et/ou qu'ils se situent dans le lien à l'autre de sa propre espèce, les formes d'aide apportées "classiquement" peuvent être vécues de manière intrusive. Le cheval ne vit que dans l'instant présent et ses exigences relationnelles apparaissent allégées car non ambiguës et constantes. Ce mode relationnel peut permettre de pouvoir oser se lier malgré les empêchements.
Naturellement disponible, curieux et ouvert à l'autre, la présence du cheval permet un cadre thérapeutique respectueux et précautionneux des blessures psychiques. L'équithérapie se révèle ainsi particulièrement adapté aux troubles anxieux, dépressifs, problématiques d'inhibition, de repli, phobie sociale, phobie scolaire…
Traumatisme :
Grâce à l'apport des sciences et neurosciences, nous savons que le traumatisme constitue toujours une effraction tout autant psychique que corporelle. Dans un contexte déconnecté du ou des évènements traumatiques, agréable, rassurant et motivant, l'équithérapie vise à la restauration de l'équilibre rompu entre le psychisme et le corps. Elle constitue un cadre thérapeutique privilégié pour toutes les problématiques liées aux traumatismes quels qu'ils soient: violence, agression physique, sexuelle, harcèlement scolaire ou autre, accident, maltraitance, perte…
Problématiques de l'agir chez l'enfant et l'adolescent :
En amenant l'autre à passer par d'autres canaux que le verbal, le cheval va exiger de la part de son interlocuteur des réajustements au niveau corporel, émotionnel et pulsionnel pour pouvoir être en relation. A son contact, les limites posées sont claires, tout comme le cadre nécessairement exigeant pour assurer la sécurité physique et émotionnel de chacun. Ce cadre thérapeutique apparait particulièrement structurant pour tout ce qui concerne les problématiques de l'agir chez l'enfant et l'adolescent.
Addiction :
Dans le cadre de l'addiction, là encore corps et esprit ne peuvent être dissociés. En permettant une approche par le corps dans une dimension relationnelle, l'équithérapie permet la prise en charge des problématiques addictives : écrans, cannabis, tabac, alcool…
Troubles ou suspicion de troubles du développement :
L'alternance entre les aspects sensori-moteurs, relationnels et le récit permet à l'équithérapeute un accès facilité à son patient peu importe son niveau de développement, de compétence ou de verbalisation. Au contact du cheval, de son univers, nous sommes dans le concret, ce qui favorise un climat de travail particulièrement constructif. Les aspects affectifs, sensoriels, moteurs, sociaux, cognitifs peuvent être abordés et même se combiner.
Insertion :
Vecteur de lien social, valorisant, le cheval conduit à la découverte de soi et de l'autre. Cette (re)mobilisation corporelle et psychique vient prendre sens dans toute démarche d'insertion qu'elle soit sociale, professionnelle, scolaire.
mal-être - anxiété - difficultés affectives, relationnelles, sociales - dépression - traumatisme - harcèlement - addiction - phobie - problématiques de l'agir - troubles du comportement alimentaires - difficultés scolaires, professionnelles - deuil - troubles ou suspicion de troubles du développement - répercussions psychiques d'une maladie - épuisement professionnel - insertion
ou tout autre motif de consultation qui selon vous nécessiterait un accompagnement
La vocation de l'équithérapie est thérapeutique. Aucune connaissance du cheval ni prérequis équestre ne sont nécessaires.